TRIBUNE LIBRE

Le diktat de l'antiracisme.

4 Mars 2015 , Rédigé par Jean Némarre Publié dans #Faits Divers

Depuis quelques décennies déjà, l'argent du contribuable finance des structures créées pour museler et attaquer les français en justice. L’appât du gain pousse ces associations à voir du racisme partout, même là où il n'y en a pas.

Le diktat de l'antiracisme.

Vous souvenez-vous des fameuses "têtes de nègre", ce petit biscuit sec sur lequel repose de la guimauve, le tout enrobé de chocolat ? Et bien sachez que ces friandises ne s'appellent désormais plus ainsi. Interdit ! L'antiracisme est passé par là et désormais, il faut dire "tête de chocolat" ou encore "boule choco". Si ce n'était que ça... mais les exemples sont nombreux.

En 2013, la marque de prêt-à-porter espagnole "Mango" est la cible du Conseil Représentatif des Associations Noires (CRAN) et de Sos Racisme pour avoir mis en ligne, sur son site Français, des colliers et des bracelets un temps présentés avec le qualificatif "style esclave". Des bijoux racistes ? C'est ce qu'ont vu ces associations. Malheureusement pour elles, il ne s'agissait que d'une erreur de traduction. En 2014, c'est au tour de la grande enseigne Kiabi de faire scandale. Sur son site de vente en ligne, la marque propose un "déguisement zoulou", jugé raciste. L'offre sera supprimée 24 heures plus tard après avoir déchaîné les foules sur les réseaux sociaux.

Aujourd'hui, une nouvelle affaire fait les gros titres. En effet, un pâtissier de Grasse est accusé de "racisme colonial" par le CRAN (toujours les mêmes). La cause ? L'artisan aurait conçu des gâteaux, appelés "Dieux" et "Déesses", représentant des individus d'origine africaine que le mouvement anti-raciste définit comme étant "des fantasmes coloniaux concernant les Noirs (regards ahuris, bouches surdimensionnées, nudité obligée, organes sexuels protubérants". Pire encore, ces friandises tourneraient "en ridicule les religions africaines". Naturellement, l'association exige le retrait immédiat des gâteaux sous peine de déposer plainte pour incitation à la haine raciale.

Voici les pâtisseries dont il est question :

Le diktat de l'antiracisme.

Elles sont composées de mousse au chocolat posée sur une pâte sablée et recouverte d'une coque de chocolat noir. La pâtissier, Yannick Tavolaro, se défend en affirmant qu'il faut "avoir l'esprit tordu pour penser que c'est du racisme". Il ajoute également : "On ne caricature pas des noirs, mais un homme et une femme. Si on utilise le chocolat noir, c'est parce que techniquement c'est plus facile avec du chocolat blanc" assurant que "ça doit faire quinze ans qu'on les propose tous les week-ends en hiver, et personne ne nous a jamais fait de remarque". Ce n'est pas grave, l'artisan a un peu d'argent et c'est cela que visent les soi-disant anti-racistes car les subventions astronomiques ne suffisent plus et les procès rapportent beaucoup. Et il risque bien d'y avoir procès car Yannick Tavolaro affirme qu'il y aura de nouveau ces pâtisseries en vente dans son établissement dès vendredi et qualifie le CRAN de "terroristes intellectuels". Un acte de résistance qui force le respect. Un rassemblement de soutien à ce commerçant s'organise d'ailleurs sur Facebook (1).

L'heure est à la révolte et à la fin de la censure. Nous devons exiger du gouvernement qu'il cesse immédiatement de subventionner toutes ces associations communautaires et liberticides. Il en va de notre liberté !

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