Peuples d'Europe face à l'africanisation.
A l'annonce de quelques dernières informations
J'hésite entre colère, rire et stupéfaction,
Entre incrédulité et incompréhension,
Entre impuissance et larmes, rage et consternation :
En Angleterre, un couple fredonne une chanson,
"Peppa pig" à leur fille, qui parle de cochons.
Manu militari, du bus c’est l’expulsion,
Une paki s’étant chargée de la délation.
La Corée au "nationalisme exacerbé",
Vient de subir les foudres d’une haute autorité,
L’Onu qui alertée par nombre d’étrangers
Se plaignant de racisme, va devoir sanctionner.
En France, nous avons, un Jean Vincent Placé
Qui déplore qu’au Sénat, soit trop représenté
L’homme blanc, âgé, que ça manque de diversité,
Et SOS racisme qui vient le conforter.
Deux Antillais qui n’ont pas dû lire le Larousse
Outrés par l’injonction "retourne dans ta cambrousse"
Ont porté plainte contre un parti dont on sait tous
Que le moindres agissement suscite des secousses.
Qui connait notre Histoire, note l’incongruité
De cette bisbille se jouant à Villers Cotterêts.
C’est qu’on ne plaisante pas avec l’accusation
D’ostracisme, de racisme, de stigmatisation.
En Italie, on sublime l’ "Octobre africain"
Afin de faire briller l’Italie de demain
Deuxième génération de nouveaux italiens,
Loin du proverbe "A Rome, fais comme les Romains"…
La Suède n'est pas en reste, c'est Fifi Brindacier,
Héroïne des enfants qui se voit expurgée
De toute connotation polémique supposée,
Ou politiquement incorrect, censurée.
Vu en Allemagne, les mêmes délires obsessionnels
Ont offert aux demandeurs d'asile un hôtel
Un quatre étoile s'il vous plait, le Bonotel
Avec spa, piano bar, mais sans le personnel.
En Suisse c'est une commune qui subit double peine,
Elle doit héberger une famille érythréenne,
Subvenir aux besoins de leur vie quotidienne
Une mère et sept enfants, sans scrupules et sans gêne.
Voilà en résumé notre situation,
Peuples d'Europe face à l'africanisation
De nos terres, nos coutumes, nos valeurs, nos nations
Jusqu'à quand allons-nous baisser le pantalon ?
Entre l'antiracisme devenu terrorisme,
Les droits de l'homme qui prônent un universalisme
Des "religions" d'ailleurs qui imposent leurs symboles
Des politiques lâches, une justice folle,
Jusqu'à quand devrons-nous accepter sans broncher
Qu'en nos villes et villages, nous soyons étrangers,
Chassés par l'allochtone quand ce n'est pas détruits,
Qu'ils puissent se comporter comme en terrain conquis.
Combien de temps avant que leur démographie
Nous fasse minoritaires dans nos propres pays ?
Combien de temps avant la bascule finale ?
Combien de temps encore avant l'issue fatale ?
Peuples d'Europe, nous sommes sur le point de mourir
Passons outre les rancœurs et divergences passées,
Les tergiversations, pusillanimités.
Il est l'heure de nous lever et nous réunir,
De mettre fin à ce suicide programmé,
Et de changer le cours de notre destinée.